Prenez soin de vous maintenant, sans adjuvant ni polluant !

Canalisation d’Isis – message reçu en écriture automatique par Isabelle Muller, le 11 novembre 2014 (aucune modification du texte, seules les fautes d’orthographe sont corrigées et la ponctuation).

Des goûts, vous cherchez à mettre du goût à vos aliments, insipides aujourd’hui. Or, plus rien n’a le goût de l’aliment divin du siècle passé, sur la Terre. Tout est dénaturé pour vous aujourd’hui, si vous ne faites pas attention à ce que vous mangez. Tout, absolument tout. Et vous y mettez des goûts artificiels aussi, très souvent.

Ne voyez-vous pas le temps d’arrêter tout ce carnage ? Ne voyez-vous pas le temps de voler de vos propres ailes, vers le Divin de la nature ? Ne voyez-vous pas tout cela ? Normal, vous êtes enfermés, en boîtes de conserves, tels vos aliments de supermarchés et divers produits des champs, qui ne sont plus les champs de vos parents.

Réveillez-vous à la beauté de l’énergie du souffle divin ! Réveillez-vous à la beauté de l’énergie du souffle de la vie divine ! Car elle est là pour vous dire tout l’amour que vous êtes, encore et encore. Bien que vous ne le sachiez plus, très souvent. Bien que vous ne le voyiez plus, très souvent.

Il est temps de bouger, chercher, danser au son de la nature oubliée. Et vous verrez le soleil se lever aux creux de vos mers et voiles de vos rêves silencieux. Vous verrez le soleil se lever, pour vous, ainsi. Car il est là et bien là, pour vous aussi. Ne cessez pas de le voir maintenant, en désespoir de tout ce que vous faites devant tout se mal-être que vous vivez.

Ne penchez plus vos cœurs vers le gouffre du mal d’être la vie, ici bas sur la Terre, maintenant. Car tout est bon et beau pour un cœur léger et pur. Tout est bon et beau pour un cœur léger et grand, que vous êtes. Que vous êtes, en fait. Que vous êtes, sans le savoir, sans le savoir.

Ne marchez plus au son des tambours mais avancez avec la lumière des étoiles de vos nuits. Ne faites pas les sourds devant la nuit de vos temps machines. Mais voyez la vie céleste et belle, de la nuit de vos vieilles âmes. Car elle est là. Elle est bien là. Elle est bien là si vous le voulez bien. Elle est bien là si vous la regardez, si vous la regardez bien.

Vous mettez les goûts, même sur vos aliments insipides. Vous mettez les goûts, même sur vos aliments de confection humaine et matérielle. Mais ne le faites plus ainsi. Ne le faites plus ainsi. Ce n’est pas cela, bien manger. Ce n’est pas cela bien manger.

Mangez vos aliments sans le beurre de la rancœur aussi. Et vous verrez que le goût est en toutes les choses de la vie, sans le sucre. Sans le besoin de les sucrer. Car la douceur de la vie EST le sucre de la vie. La douceur de la vie est le sucre de la vie.

Prenez soin de vous maintenant, sans adjuvant ni polluant. Prenez soin de vous, sans essayer de suivre les dictats de la mode urbaine, que vous n’aimez même pas en fait. Sans vous efforcer de prendre le rythme effréné qui vous est imposé par le regard des êtres en pleurs, que vous êtes encore et encore, sur la Terre aussi, malheureusement. Que vous êtes encore, si vous ne voulez pas entendre le souffle du vent. Celui qui nourrit. Celui qui vous porte et vous transporte. Celui qui vous aime et vous anime, encore et encore. C’est lui, le souffle de la vie. C’est lui, le sucre de la vie et le piment de l’amour dont vous rêvez. Et le piment de l’amour dont vous rêvez.

Alors, levez-vous et avancez, sans penser aux sucres et sucreries de la vie terrestre ! Et voyez, voyez le souffle dans vos cœurs ! C’est lui, le sucre de la vie divine. C’est lui, le sucre de la vie divine sur la Terre aussi. Sur la Terre, aussi.

Alléluia

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Prenez soin de vous maintenant, sans adjuvant ni polluant !
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